. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Nom: Yamashita
Prénom: Ayumu
Age: 18 ans
Nationalité: Japonaise
Occupation: étudiante en géologie
Groupe: Humain

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Body

Loin d’être la plus belle des filles, Ayumu est loin d’être la moins désirable. C’est vrai qu’elle s’imagine plus belle qu’elle n’est réellement, mais c’est une autre question.
Son visage est assez quelconque, il faut se l’avouer. Ses grands yeux ambrés - marrons, mais avec une bonne lumière, ils sont ambrés - sont son meilleur atout charme. Perçant et énigmatique, l’on s'y perd facilement dedans et leur forme reptilienne rappelle les hypnotiseur les plus doués. Mais ce détail n’est pas le seul à rappeler le serpent, son petit nez fin, son menton pointu, ses longues lèvres fines et à peine plus rosée que son teint pâle donnent à son visage un air inquiétant. Heureusement, sa large crinière souple et soyeuse vient casser ces défauts avec une facilité désinvolte. Un châtain clair des plus doux et ces quelques reflets améthystes. Sa voix est également plus douce et évoque à chaque instant la tendresse que la jeune fille peut avoir sous ses airs de serpent.
Pas la plus précieuse des pierres en somme, mais l’une des moins communes à n’en pas douter !
Côté physique, la jeune femme n’est pas en reste. Elle l’entretient avec soin, mange des repas équilibré, et ne rate pas un seul de ses exercices quotidiens. Elle est souple et solide pour la faire courte et maîtrise quelques arts qui font grincer les agresseurs de tous genre. Aussi, ses membres sont légèrement tracés de quelques reliefs musclés mais qui lui offrent une silhouette de model. Ses doigts, également longs et fins, ont ce petit dons de savoir manier n’importe quoi à la première rencontre. Un don qu’elle aime beaucoup et qu’elle n’a pas vraiment besoin d’entretenir. Ce petit talent à cependant un défaut majeur. Savoir manier un outil est un jeu d'enfant pour elle, le maîtriser à la manière d'un maestro lui est impossible. Une polyvalence sans réelle excellence malheureusement.

Son style vestimentaire donne beaucoup trop d’indices sur sa personnalité. Si elle aime les choses simples qui s’enfilent rapidement lorsqu’elle est chez elle, en public, elle aime être plus soignée. Un peu de fourrure, de belles robes, une certaine préférence pour le noir, des talons hauts ; un écart à son code signifiant qu’elle ne s’attend pas à être trop exposer et qu’elle veut un peu plus de liberté dans ses mouvements.

Soul
Ayumu est une fille capricieuse. Elle aime “vouloir”. Elle veut tout, tout de suite, mais par ses moyens et pas en mendiant. Elle veut être indépendante et vote toujours pour la méritocratie. Si elle veut quelques choses, elle se donnera les moyen pour l’avoir et refusera qu’on le lui offre sur un plateau d’argent. Attendre que l’or tombe du ciel, c’est bon pour les faibles et les incompétents d’après elle. Aussi, les gens qu’elle apprécie se compte sur les doigts d’une main. Elle hais les fils à papa, les filles qui se contentent de sourire pour récolter les cadeaux et tous ceux qui jalousent quelques choses qu’ils ne méritent pas. Elle n’aime pas non plus tout ces gens qui claquent des doigts pour avoir ce qu’ils veulent, quel genre de mérite ont-il si ce n’est avoir hérité de la bonne personne ? Ou être au bon moment et au bon endroit ? Accumuler une fortune un jour pour se faire servir le reste de sa vie, c’est pas très glorieux non plus. La reconnaissance se mérite chaque jour.

Cependant, elle n’est pas contre l’adage “La fin justifie les moyens”. Elle se fiche parfois des règles si le jeu en vaut la chandelle. Après tout, personne n’est tout blanc, alors autant être tout noir. La seule règle qu’elle suit, c’est le respect pour ceux qui le mérite. Moins on cherchera à lui faire du tord, plus elle cherchera à aider son prochain.

Car au fond, elle n’est pas si insensible que cela, juste sélective quand à ses fréquentations. Certaine personnes méritent une grande place dans son coeur, aussi, elle ne compte pas les efforts pour ces gens, et surtout, on lui découvrira rapidement une grande tendresse et beaucoup d’attention. Mériter son respect est une chose difficile, mais le retour est d’autant plus agréable.

D’autre part, Ayumu est une fille réfléchit et calculatrice. Elle aime savoir, apprendre et accumulé de l’expérience. Elle conçoit alors de nouveau plaisir à chaque apprentissage. Le savoir est une arme, et elle aime les armes. Elle est aussi très calme et posé. Sereine et semblant froide parfois, elle sait contenir ses colères en serrant fort les dents, mais dans ces situations, il faudra craindre la vengeance.)

Tale
Un matin frais, comme elle les aime. En ce début de week-end, elle se plait à imaginer les heures paisibles qu’elle passera au milieu des fleurs que sa grand mère vend. Elle n’a pas toujours beaucoup de temps à consacrer à sa mamie adorée pendant la semaine, mais elle n’hésite jamais à venir lui donner un coup de main lorsqu’elle a une seconde libre. Cette vieille femme travailleuse qui ne s’est jamais plainte de rien a toujours dit qu’elle voulait mourir au milieu de sa boutique. Sa petite fille lui a promi de couvrir sa tombe avec toutes les fleurs qui resteraient. Surtout ces lys dont elle a tant prit soin comme elle a prit grand soin de cette gamine orpheline. Son père, on a jamais vraiment su qui il était et sa mère est morte en la mettant au monde.

Une tristesse ? Aucunement, être élevé par sa grand mère est la plus belle chose qui puisse lui arriver. Elle a toujours était là après tout, pour la faire rire, pour la promener ça et là, lui faire découvrir le monde à travers les fleurs, à travers les quelques voyages qu’elle put payer avec ses maigres revenus d’argent. L’enfant et la dame se privaient régulièrement pour faire plaisir à l’autre. L’ailleule était également très ouverte d’esprit et ne tenta jamais d’entraver l’imagination et les ambitions de sa descendance, l’encourageant à chaque fois, qu’importe ses décisions.

Ayumu a ainsi put se forger un esprit combattant, ne regrettant jamais ses choix et cherchant toujours à pousser ses rêves plus loin. Parfois trop loin même lorsqu’elle bravait des règles sacrées. Ainsi, elle fut rapidement catalogué comme délinquante entre le primaire et le collège, mais se calma au lycée lorsqu’elle compris qu’être plus discrète et moins extravagante lui était favorable. Sa grand mère, plutôt que la gronder et la punir, contrairement aux professeurs, essayer de lui proposer implicitement des solutions qui profiteraient à tout le monde.

C’est en suivant ce courant favorable que la jeune fille s’essaya à quelques arts inattendus mais au gout de tout le monde. Les arts martiaux, mélange d’apprentissage du corps et de l’esprit, du respect de la société et des forces de la nature. Concentrer ses colères et anihiler les excés comprendre et vivre le monde différemment. Encore un peu instable, elle parcourut bien des clubs  de son école comme le karaté, l’aikido, le juijitsu, le taekwondo et quelques kungfus obscures. Elle ne restait pas bien longtemps à chaque fois, quelques mois tout au plus. Le temps de montrer une incroyable facilité pour maîtriser les bases. En fait, elle n’abandonnait pas pour seulement aller voir ailleurs, mais plutôt parce qu’elle ne se sentait pas l’âme d’un maître et ne voulait pas affronter les véritables difficultés et les stars de ces clubs. Elle n’a jamais vraiment cherché à devenir une combattante redoutée, il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre pourquoi on l’avait guidée sur cette voie. De l’avis de sa gardienne, elle quittait lorsqu’elle passait maître dans la philosophie de tous ces arts. Un jugement un peu exagéré il est vraiment mais avec un fond de vérité lorsqu’on regarde ce qu’elle est devenue.

Faisant le vide dans sa tête et s’essayant un n-ième fois à cette compisition florale qu’elle n’arrivait pas à finaliser, elle finit par trouver l’inspiration en écoutant le champ mélancolique de sa mamie qui venait d’arriver. La vieille dame avait étrangement du mal à se réveiller en ce moment et elle arrivait tout juste avant les clients. Aucun signe de maladie, juste la confiance qu’elle portait à sa protégée et seule descendance. Si ce n’est ces quelques déboire mineur, Ayu n’avait pas à se plaindre des péripéties de sa vie, ni des promesses que cette coquine lui faisait. Bientôt l’université, étudier la géologie, géographie, un choix un peu par défaut, parce qu’il faut bien gagner de l’argent, et, malgré tout le respect qu’elle avait pour le métier de sa grand mère, la passion de la fleur n’appartient qu’à elle et ce n’est pas vraiment celle de la jeune fille.

Derrière l'écran
Pseudo: SYH
Personnage de votre Avatar: OC
Vos passions: l'informatique, les rp, les mangas, le japon, le yaoi ...
Améliorations que vous pouvez suggérer: le graphisme fait un peu cheap, mais c'est vraiment pour suggérer quelques chose.
Pedobear ou bisounours?: Il y a un piège, c'est ça ?